dimanche 1 avril 2012

Rosaire de SOS Tout-Petits - 31 mars 2012 (4)


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Rosaire de SOS Tout-Petits - 31 mars 2012 (1)

Non loin de l'hôpital Tenon dans le 20e arrondissement de Paris, ce samedi 31 mars dans la matinée, avait lieu le Rosaire pour la vie de SOS Tout-Petits. 
Près de cent personnes (lors de mon comptage ils étaient 96) ont prié pour que cessent les avortements pratiqués par cet hôpital. 

Deux prêtres étaient présents pour conduire le Rosaire. 
Xavier Dor, président de l'Association et un Avocat, ami de SOS Tout-Petits, ont tour à tour pris la parole entre deux Mystères. 
La communauté polonaise, dont les membres sont identifiables par leurs capes rouges, s'était associée à la prière pour les Tout-Petits, ainsi que de nombreuses personnes faisant parties de l'Institut Civitas dont le secrétaire général était lui aussi présent.

Les pro-avortements ont manifesté devant l'entrée du bâtiment, sans débordement vers la rue de Chine ou avait lieu les prières. 
Seules quelques personnes, vers la fin de la manifestation, se sont placées sur le trottoir d'en-face pour perturber le Rosaire par des cris et des hurlements. Ces railleries spontanées furent vite interrompues par des policiers. Ce petit groupe était composé de gens du quartier (ces gens étaient aussi des contre-manifestants que j'avais identifié et reconnu quelques minutes plus tôt longeant la manifestation pro-Vie). Cette situation était propice aux embuscades.
En effet, cette fois-ci les policiers avaient laissé un passage entre leurs fourgons et les manifestants, ce qui a donné lieu à des accrochages de la part des passants. Parfois des échanges ont été amorcés. Certains se sont transformés en débats plus ou moins vifs. Ainsi, le débat sur l'avortement avait lieu dans la rue, ce qui n'est pas une mauvaise chose néanmoins cela comporte des risques. Mais grâce aux nombreux jeunes qui se sont montrés disponibles pour la discussion avec les gens du quartier tout c'est relativement bien passé. Dans une telle situation il aurait été facile de provoquer les manifestants et ensuite de les accuser.
Des habitants malveillants auront jeté de leur fenêtre des bombes d'eau et de peinture bleue sur des jeunes qui ont eu leurs habits dégradés.

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